Tu es sorti de ce repos
je surveille que tu es maintenant
entourée dans les plumes de la lune
je vois que maintenant non seulement
tu es argent pur mais aussi la lumière
de la nuit.
Oui, je le crois, je veux le croire, mais quelles sont
ces ombres qui emportent le miroir ?
et vois, la ronce prend parmi les pierres
sur la voie d'herbe encore mal frayée
où se portaient nos pas vers les jeunes arbres.
il me semble aujourd'hui, ici, que la parole
est cette auge à demi brisée, dont se répand
a chaque aube de pluie l'eau inutile.
Je composerai les rivières
et il sorte les mots
il les envoie entourées dans des roses
pour polir les miroirs avec son pétale enchanté
et tu surveillerais les ombres tu sauras qu'il dissimule le reflet
du mot.
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